Garde-Manger

Atteindre des revenus dans les six chiffres en faisant pousser des légumes biologiques sur moins d'un hectare. C'est l'objectif que s'est fixé le couple de Québécois formé de Jean-Martin Fortier et Maude-Hélène Desroches.

Plus importante communauté francophone de l'Ontario, Hearst a choisi de miser sur l'agriculture pour redonner de la vigueur à l'économie locale.

Pour réussir dans l'agriculture biologique, un fermier doit être capable de gérer le moindre détail, en plus de bien comprendre les particularités de ce marché en plein essor, qui n'est pas soutenu par les institutions financières.

La demande pour le lait biologique dépasse l'offre. L'Ontario se procure 500 000 litres de lait biologique par semaine chez son voisin québécois, chef de file au pays en matière de production laitière biologique.

En 2012, l'Organisation des Nations unies (ONU) a publié un rapport accablant sur la pauvreté et la sécurité alimentaire au Canada. La situation des habitants du Nord canadien est jugée critique.

Cueillir ses aliments directement dans la forêt ou en bordure d'un lac, c'est l'ultime geste pour réellement manger local. La tendance alimentaire de la forêt à la fourchette est en plein essor au Canada.

Au Canada, d'ici dix ans, la moitié des fermiers actuels auront pris leur retraite. Pourtant, près de 75 % d'entre eux n'ont pas de relève. Et ceux qui ont réussi à trouver preneur pour leur ferme ne sont pas pour autant assurés d'une retraite dorée.

L'agriculture conventionnelle est l'industrie principale de l'Île-du-Prince-Édouard. En raison de son isolement et de sa taille modeste, l'île ne peut pas compétitionner avec les autres provinces en terme de volume et de prix.

Propriétaire et fondateur des Fermes Lufa à Montréal, Mohamed Hage rêve d'une ville qui produirait assez de nourriture pour alimenter sa population, et ce, sans occuper de nouvelles terres.

L’agriculture est le coeur économique de la Saskatchewan. C’est dans cette province que l’on retrouve le nombre le plus élevé d’exploitations agricoles certifiées biologiques.

Devant l’absence de volonté politique afin de préserver la biodiversité des cultures et des animaux, de petits agriculteurs risquent tout ce qu’ils ont pour essayer de changer l’état actuel de notre environnement, mais aussi de notre santé collective.

En 2011, le dernier recensement révélait qu’un Canadien sur cinq était né dans un autre pays. Ces changements démographiques entraînent aussi des changements dans les champs canadiens.

La viticulture est encore l’une des activités agricoles qui utilise le plus de produits chimiques. Les vignobles biologiques tentent de renverser la tendance en bannissant les herbicides, fongicides et autres produits chimiques de leurs cultures.