Faire respirer la ville

Les villes modernes croulent sous le poids des voitures et des constructions en béton, créant des paysages urbains où les arbres et les espaces verts sont de plus en plus rares. Pourtant, il est possible de laisser une plus grande place à la nature au sein de nos villes afin d'y améliorer la qualité de vie. C'est ce que tentent de faire Michel Labrecque à Montréal, Geoffrey Cape à Toronto et Lindsay Cole à Vancouver. Dans les années à venir, Lindsay Cole continuera de changer le visage de sa ville. Geoffrey Cape, lui, pourra davantage marcher dans des boisés qu'il aura plantés de ses mains ou que d'autres auront plantés grâce à lui. Michel Labrecque roulera à vélo dans une ville ou il y aura de plus en plus de cyclistes, comme lui, et de moins en moins d'autos. Que faut-il, en somme, pour faire respirer la ville? Quelques projets innovateurs, les moyens de les mettre en œuvre et surtout, des hommes et des femmes qui ont la volonté d'aller jusqu'au bout.